Que sont devenu les anciens ?

Benoît Berger, étudiant de la promotion 2010 du M2 DAF ORLÉANS a profité des compétences acquises lors de la formation pour passer les examens du Centre Régional de Formation à la Profession d'Avocat, réussis immédiatement. Il a ainsi pu intégrer immédiatement après son Master l’École du Centre Ouest des Avocats au sein de laquelle il s'est formé à la profession d'avocat.

"Le Master 2 Droit des Affaires et Fiscalité est l'une des rares formations ayant pour ambition de former des professionnels du Droit, tant sur le plan de la fiscalité que du droit des sociétés. Dès lors, le lien itératif ténu qui existe entre ces deux matières permet d'affronter un dossier sous différents angles de vue, grâce aux compétences acquises lors de la formation, pour répondre de manière optimale aux exigences du client.

La double formation, dont une partie est assurée en anglais, est un atout essentiel pour les futurs juristes, avocats ou autres professionnels du Droit des affaires. Elle dispose également d'un avantage majeur, en ce que certains pans de la matière fiscale sont enseignés par des professionnels du Droit défendant des intérêts antagonistes : avocats et agents de l'Administration fiscale.

Enfin, le Master 2 compte, chaque année une vingtaine d'étudiants, permettant ainsi de travailler en équipe, dans une ambiance de "groupe", propice à l'échange et à l'interactivité.

La formation se clôture par un stage d'une durée de trois à six mois, permettant de mettre en pratique la double compétence acquise et d'aider l'étudiant à faire un choix pour une future spécialisation, symbole d'un nécessaire gage de réussite, permettant faire croître une technique théorique comme pratique du droit des affaires.

Le Master 2 droit des affaires et fiscalité est classé au 8ème rang du classement SMBG".

Audrey, étudiante de la Promotion 2011 du M2 DAF ORLÉANS.

Après une première année de Master 1 en Droit des Affaires dans une Université parisienne, Audrey a volontairement choisi de revenir à Orléans afin d’intégrer le diplôme. Pour elle, le choix était sans appel : les besoins actuels des entreprises en juristes d’affaires capables de cerner l’environnement général, et notamment fiscal, de l’entreprise sont certains et se multiplient. Le Master 2 Droit des Affaires et Fiscalité d’Orléans répond très bien à cette demande professionnelle.

"Toutes les questions de droit des sociétés ont un impact en fiscalité, sans être l’option l’une de l’autre, la double compétence en droit des affaires et en fiscalité permet d’allier l’aspect stratégique et l’aspect fiscal ce qui est très bien."

Selon Audrey, ce qui fait la force du diplôme c’est donc la possibilité de se former en droit des affaires et en fiscalité. Elle avoue avoir beaucoup progressé en fiscalité grâce aux intervenants professionnels qui mettent les étudiants de la promotion face à des cas concrets, les amenant à se questionner sur les solutions pratiques à apporter à une situation donnée. Audrey est satisfaite de sa formation au diplôme qui a consisté en un approfondissement en droit des affaires et en l’acquisition de connaissances fiscales. Elle a particulièrement apprécié l’accent porté sur la capacité à synthétiser rapidement des documents ou des arrêts, très utile pour préparer le concours d’avocat par la suite. De même, en droit des affaires, Audrey était très intéressée par les débats proposés qui contribuent à développer une ouverture d’esprit et lui ont permis de débattre de certains sujets avec des chefs d’entreprises.

" La Faculté d’Orléans est humaine elle répond aux attentes des étudiants qui ont envie de travailler, c’est une faculté qui a de l’ambition. "

Pour Audrey, la qualité de la formation revient aux intervenants professionnels qui, passionnés, transmettent leurs connaissances. Cela revient également aux partenariats que le diplôme développe depuis plusieurs années avec de grands cabinets français et anglo-saxons, mais également avec des cabinets d’expertise comptable qui sont satisfaits des stagiaires reçus et renouvellent chaque année leurs propositions de stage.

" Les intervenants professionnels sont ouverts et disponibles, ils sont passionnés par leur profession et ont plaisir à participer au diplôme."

Même si beaucoup poursuivent leurs études et se préparent au concours d’avocat, Audrey nous a confié que les étudiants qui suivent le diplôme sont rapidement recrutés à l’issue de l’obtention de ce diplôme.

Adeline Nguyen, diplômée de la promotion 2010, répond à nos questions pour m2daforleans.fr et partage son expérience et son opinion sur le diplôme.

La notoriété du M2 DAF ORLÉANS s'améliore d'année en année. Quels sont selon vous ses atouts ?

"La qualité majeure du diplôme est qu’il permet de ne pas s’enfermer dans une seule spécialité tout en se spécialisant (en fiscalité). Ainsi le domaine « Droit des affaires » comprenant pour l’essentiel un apprentissage en Droit des sociétés permet de rester ouvert à toute opportunité et le domaine « Fiscalité » comprenant d’une part la Fiscalité interne et d’autre part la Fiscalité internationale qui enrichit sensiblement le cursus"

Le Master a t-il joué un rôle dans votre insertion professionnelle ?

"Le diplôme a une approche très professionnelle. En effet, les professeurs sont en partie eux-mêmes des professionnels (avocat ou inspecteur d’impôt par exemple).
Mais aussi, le travail demandé n’est plus « scolaire » et nous prépare déjà pour le monde du travail. Par exemple, les nombreux exposés nous apprennent à travailler en groupe et à nous exprimer à l’oral. Le type d’épreuve auquel nous devons faire face lors des partiels est très significatif, il s’agit en effet de traiter un dossier pendant 8H00 spécialisé soit en Fiscalité soit en Droit des sociétés avec toute la documentation souhaitée à disposition. Ainsi, il ne nous ait plus demandé de faire du « par cœur » mais de savoir analyser et rester concentré pour rendre à la fin du temps demandé un devoir construit et réfléchi comme un vrai professionnel.
A titre personnel, le diplôme m’a permis de révéler un réel intérêt pour la Fiscalité international."

Avec du recul, selon vous, que diriez-vous au sujet de la notoriété du diplôme ?

"La notoriété du Master a été un atout lors de mes entretiens de stage. En effet, lorsque la Directrice des Ressources Humaines de FIDAL DIRECTION INTERNATIONALE m’a proposé d’effectuer mon stage chez eux (suite à mon entretien), elle m’a fait part de sa très bonne impression sur le M2 DAF en le qualifiant « d’excellente formation ». Je sais ainsi que le diplôme est un gage de qualité pour des grands cabinets d’affaires".

En deux mots, quel est à votre avis l'intérêt du stage ?

Le stage a pour intérêt de confirmer notre spécialisation ou alors d’en découvrir une autre et surtout de savoir ce qui nous attend après le M2 !"

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